Le montage est aussi vieux que le cinéma lui-même. Or lorsque Griffith eut apporté la multiplicité des plans et des angles c’est-à-dire la variété des points de vue, il prit une importance capitale.
Mais comment le montage est-il venu à Griffith ou comment Griffith est-il venu au montage ?
Et bien, Griffith vint au montage par le biais des actions parallèles. Et l’idée de l’action parallèle lui fut suggérée par... Dickens !
Sergueï Eisenstein, Dickens & Griffith, Editions Stalker, 247 pages, 22 euros.
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